Comme si l'urgence était la parution du texte sur le déplafonnement des heures sup, la DGOS nous a contraint, sans aucune base réglementaire, ni moyens pour le faire, à une visioconférence pour voter le texte. Nous avons décliné l'invitation et transmis la déclaration que vous pouvez télécharger.

L'urgence pour nous est de protèger les agents en contact direct avec les patients (personnels hospitaliers, pompiers, ambulanciers, etc.), et de faciliter tout ce qui pourra l'être afin que les agents hospitaliers du public et du privé puissent travailler protégés et sereins.

La phase qui suivra la crise nous permettra de poser nos revendications, et de revoir le modèle du tout ambulatoire porté depuis quelques années par les gouvernements successifs. Mais chaque chose en son temps. La fédération reste à votre disposition et continue de vous aider avec les moyens que nous avons. Certains de nos camarades sont malades, infectés par le virus, nous leur apportons tout notre soutien moral et nous pensons fort à eux.

L'épidémie continue, nous devons continuer à la combattre, au gouvernement de nous en donner les moyens !